« Vouloir céder ses parts de SCPI est tentant dans un contexte de baisse des valorisations des immeubles et de diminution des prix de parts », souligne Jérémy Schorr, Directeur commercial de Primaliance et de bienprévoir.fr. « Mais ce n’est pas forcément la meilleure chose à faire actuellement, au regard des opportunités d’acquisitions d’immeubles à bon compte existant sur le marché, et donc de rendements accrus pour les épargnants. »
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La hausse violente des taux d’intérêt est passée par là et nombre d’entre eux ont été obligés de revoir le prix de leur part après révision à la baisse de la valorisation de leur patrimoine. Une situation particulièrement préoccupante pour les SCPI les plus endettées qui n’ont pas la possibilité de se refaire une santé en se positionnant sur des actifs meilleur marché.
Remis de la crise sanitaire, le secteur de l’hôtellerie a le vent en poupe en France avec, en point d’orgue, les Jeux olympiques de Paris 2024. S’il promet des rendements élevés, il faut avoir conscience des risques.
Vouloir vendre ses parts de SCPI est tentant dans un contexte de baisse des valorisations des immeubles et de diminution des prix de parts, mais ce n’est pas la meilleure chose à faire actuellement, compte tenu des opportunités d'acquisitions d’immeubles à bon compte existantes sur le marché, et donc de rendements accrus pour les épargnants.
Vouloir vendre ses parts de SCPI est tentant dans un contexte de baisse des valorisations des immeubles et de diminution des prix de parts, mais ce n’est pas la meilleure chose à faire actuellement, compte tenu des opportunités d'acquisitions d’immeubles à bon compte existantes sur le marché, et donc de rendements accrus pour les épargnants.
"Remis de la crise sanitaire, le secteur de l’hôtellerie a le vent en poupe en France avec, en point d’orgue, les Jeux olympiques de Paris 2024. S’il promet des rendements élevés, il faut avoir conscience des risques."
Vouloir vendre ses parts de SCPI est tentant dans un contexte de baisse des valorisations des immeubles et de diminution des prix de parts, mais ce n’est pas la meilleure chose à faire actuellement, compte tenu des opportunités d'acquisitions d’immeubles à bon compte existantes sur le marché et donc de rendements accrus pour les épargnants.
Vouloir vendre ses parts de SCPI est tentant dans un contexte de baisse des valorisations des immeubles et de diminution des prix de parts, mais ce n'est pas la meilleure chose à faire actuellement, compte tenu des opportunités d'acquisitions d'immeubles à bon compte existantes sur le marché, et donc de rendements accrus pour les épargnants.
Devenir l'heureux propriétaire de l'appartement où a vécu et est mort Voltaire, sur le quai du même nom, acquérir aux enchères une toile de deux peintres chinois ayant travaillé à Paris, un celluloïd de Pikachu ou de votre héros de manga japonais préféré, parier en Bourse sur le rebond des foncières européennes, profiter des nouvelles opportunités obligataires en investissant dans un fonds daté, tirer parti, enfin, des deux dernières semaines de 2023 pour investir dans une SCPI fiscale afin de minorer ses impôts : tels sont nos conseils de la semaine pour votre argent.
Il reste deux semaines aux contribuables pour minorer leur impôt sur le revenu 2023. Dans un éventail restreint de solutions (FIP-FCPI, Sofica, Girardin industriel, etc.), on trouve les SCPI fiscales. Ces véhicules collectifs déclinent des dispositifs fiscaux existant dans la détention immobilière en direct avec des tickets d’entrée de l’ordre de quelques milliers d’euros.